raccord de pensée sur l’ogre travail
Je suis tombé sur un message dans le courrier des lecteurs de Télérama de cette semaine (n°3061) qui se trouve être l’excate mise en formule de mon état d’espris actuel , merci donc, un grand merci à Michel Garret de Saint leu la forêt :
» C’est la rentrée. Le moment de penser, comme chaque année, au passage du temps, à la folle course contre la montre, aux « deuxièmes journées », tonu ça sur fond de réhabilitation de la valeur du travail. J’ai fait des enfants pour les accompagner à l’école, pour sentir leurs petites mains dans les miennes, pour le soir les essuyer quand ils sortent du bain et qu’ils sentent si bon. Pour leurs sourires (plus spontanés que ceux du boulot) et les discussions animées avec les plus grand. Je ne veux pas qu’ils passent tout leur temps entre les nounous (même si je les adore) et les grands-paents (si précieux). Je ne veux pas rentrer exténué, indisponible et sourd à leurs demandes. Oui, je veux bien travailler plus, mais de ce long travail d’apprentissage de la vie auprès d’eux. Chacun sa route. »
Leave a Reply
You must be logged in to post a comment.